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Vue du choeur avec l'échafaudage en vue de la pose de la gaine du chauffage. Le futur autel sera réalisé par H. Kaeppelin. ![]() Partie de la décoration du plafond de la nef : Marie, reine de la Terre, par Carlo Limido (1939). Photo Guy Kohler -Hirsingue (1971). La modernisation de l'édifice est effectuée sous l'égide du curé Pierre Onimus. Le ' dimanche du franc ' couvre partiellement les dépenses occasionnées par le chantier. La restauration est supervisée par l'abbé Reigue, directeur des arts sacrés du diocèse de Strasbourg. Melle Haas de Sierentz établit les plans et conduit les travaux d'ordre artistique. Les travaux de peintures, qui durent 4 mois, sont confiées à l'entreprise Lucien Weiss, meilleur ouvrier de France. Afin de faire reparaître le style néoclassique d'origine, les décorations néo-baroques des plafonds de la nef (Marie, reine de la Terre et 4 médaillons tétramorphes), du choeur (Christ pantacrator à six doigts), de l'arc triomphal et des intérieures de fenêtres disparaissent sous une couche de peinture acrylique grise, rose et saumonée . L'application des recommandations conciliaires de Vatican II, préconisant une certaine sobriété des lieux de culte, feront mettre à l'écart les statues et tableaux. Ces mêmes conseils prônent un nouvel autel installé en face de l'auditoire. De forme cubique, avec des motifs en plomb doré, il sera réalisé par H. Kaeppelin, un artiste de Vanves, près de Paris. La décision de recouvrir le carrelage du choeur par une moquette (Tapisom) est prise. L'installation électrique est mise aux normes et un ensemble de 16 luminaires améliore la luminosité de la nef. Les bancs et le buffet de l'orgue reçoivent une couche de vernis. La tribune supérieure ' Schwatzerbuhne' est démontée suite à la demande de la commission de sécurité. Les marguilliers essaient de redonner au bâtiment une partie de la symbolique d'origine. |
Eglise St. Jean le baptiste de Hirsingue : un chef-d'oeuvre néoclassique. Vue du choeur en 1971 lors du chantier de rénovation..
Les
[pilastres]
de part et d'autre de l'arc triomphal ne portent portent plus les cannelures stylisées de l'ordre architectural grec.
Carlo Limido (1939) s'est autorisé un allègement pictural du style néoclassique pour quelques surcharges néo-baroques : les cannelures ou glyphes des pilastres de la nef sont supprimés, des allégories ou fresques prennent place au plafond de la nef et du choeur ainsi que sur l'arc triomphal. Notez l'emplacement des deux statues en carton-pâte : [Sacré-Coeur] [Vierge Marie] acquisent en 1905, auprès d'un modèliste ornementaliste munichois : complémentarité masculine féminine. Sous le pilastre de droite, une statue polychromique représentant [sainte Anne]. Anne nom d'origine hébraïque : la précieuse Le choeur, dont l'accès est réservé aux prêtres et aux servants de messe, est séparé de la nef par le banc ou table de communion. Vers la visite guidée virtuelle du choeur L'église de Hirsingue : 1923 : vue partielle du choeur .... suite. A propos de l'église : histoire, restaurations et chantiers. .... suite. Hirsingue - Sundgau - Sud Alsace. |